Pas facile de relater un dossier aussi complexe que celui du Jardin des Paraboles. Il faut d'abord situer le cadre et le rôle que Proximus y a joué. Il faut ensuite relater les péripéties des différentes demandes de permis depuis 2018. Il faut enfin décrire les enjeux, les arguments du porteur de projet, ceux ceux des opposants et la position de la commune. La Meuse et Le Soir ont plutôt bien réussi l'exercice.
Dans sa livraison du 16/01, La Meuse consacre toute une page au dossier. Un encadré met en évidence l'objectif poursuivi par notre comité : le reclassement du bois en zone forestière. Le promoteur n'a pas souhaité y être interviewé et se contente d'une réplique laconique : 'Nous avons une solution pour tout'.
Dans son édition régionale du 29/01, Le Soir est parvenu à interroger le promoteur sur la disparition de la maison de repos et son remplacement a un centre de revalidation : "La crise du covid a largement montré que cette approche pour les personnes âgées n’était pas idéale(...) Nous envisageons à la place un centre de convalescence portant sur le mieux-être(...) le tout vu comme dans une résidence service mais de façon horizontale,
avec un service para-hôtelier, nettoyage, petits déjeuners, para-pharmacie. Bref, ce sera un village..". Et que pense la commune de ce nouveau concept de village sur pilotis et passerelles destiné aux seniors ? Elle bien, elle attend la nième version du projet....
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